Traiter l’asthme allergique revient premièrement à prendre le contrôle sur la maladie et deuxièmement à limiter les effets secondaires des traitements entrepris. Découvrez comment diminuer le nombre de crises et d’état d’urgence. Il y a le recours aux soins médicaux certes, mais la substance qui provoque l’allergie doit avant tout être identifiée et évitée.

 


 

Première étape : chasser l’allergène

Pour traiter l’asthme, il est primordial d’effectuer des analyses afin de déterminer identifier l’allergène responsable. Cette technique n’est pas facile à mettre en œuvre surtout en cas de pneumallergène. En tout cas, les précautions qui doivent être prises sont nombreuses, dont : 

  • Le matelas sur lequel dort : il doit être recouvert d’une housse antiacarienne, car ces petites bêtes accentuent souvent les symptômes de l’asthme.
  • Désinfecter l'atmosphères, le matelas et les draps à l'aide d'un spray anti-acariens
  • Les personnes affectées par cette maladie devront éviter la prise de substances toxiques dont l’alcool et surtout le tabac qui endommagent rapidement et gravement l’organisme même chez des individus en bonne santé.

 

Les traitements médicaux contre l’asthme  asthme

Dans un premier temps, le thérapeute pourra proposer de désensibiliser le patient pour soigner l’asthme. Pour cela, il pourra lui administrer des allergènes à faible dose et augmenter la posologie de manière progressive. Le traitement peut durer jusqu’à 5 ans selon les cas.

 

Pour les crises sévères, les médecins prescrivent souvent des corticoïdes à inhaler pouvant se présenter sous la forme de ventoline. Ce genre de cure peut également s’étaler sur de longues durées chez les personnes victimes d’asthme sévère.

 

Des traitements de fond peuvent être proposés lorsque les crises sont récurrentes. Les spécialistes prescrivent souvent une association de corticoïdes et de bêta 2 mimétique. Le montélukast peut être prescrit si les symptômes sont très alarmants.

 

Quoi qu’il en soit, la consultation médicale est capitale pour les asthmatiques. L’automédication est à proscrire et peut mener à des conséquences encore plus désastreuses.